éditorial

Vivantes et connectées!


8 mars 2010: dans les rues de Suisse romande, George bat le pavé.
Ce pari culotté a pris corps. Premiers regards, premier accueil: encouragée et appréciée, George se voit confortée dans la conviction qu’il existe, en Suisse romande, une place pour une revue qui dépasse les bornes.

Dans ce nouveau numéro, galvanisé par l’accueil du public et porté par une équipe aux points de vue contrastés, George continue à s’affirmer quelque part entre deux pôles: l’art et la vraie vie. Une volonté d’expression libre associée à un fort désir d’ancrage dans le quotidien. Ainsi, les premières chroniques de nos «performeuses» du réel entre Montréal et New York – de la vie brute, mais aussi une incitation à la réflexion. Ou la suite du parcours africain d’une journaliste suisse à la recherche des femmes qui se battent sur le terrain pour la reconnaissance de leurs droits – comme un miroir des luttes d’ici. Tout est matière à disserter et à reconsidérer… à digresser aussi. «Dans la peau de George Kaplan» et «Le terrain de jeu de Messaline» offrent un espace de liberté à des plumes légères et iconoclastes. Promesse d’impertinence tenue.

La sortie de ce numéro 1 s’accompagne de la mise en ligne d’un nouveau site. Une extension du magazine née de la volonté d’offrir une continuité entre deux parutions, mais également du souhait de voir une communauté se créer: sur www.georgemag.ch, nous recueillons vos réactions, vos envies et vos interrogations.

George la revue et George le site: plateformes jumelles à investir, à faire vivre et à partager. Un véritable coup de projecteur sur ce monde vivant et effervescent qui est le nôtre!

Comments
Une commentaire to “Vivantes et connectées!”
  1. Elena A. dit :

    La revue qui dépasse les bornes… mais qui respecte celles de la tradition misogyne de la langue française. Encore une fois, le masculin l’emporte. Tout mon soutient à George, avec un regret cependant: celui de constater que l’on ose toujours pas inventer de nouvelles formes d’expressions, se réapproprier des formes de langages qui nous ont été imposées, être subversives, enfin! Car si dans un espace-temps comme George on ne prend pas ce genre de risque/plaisir, où diable va-t-on le faire?

    Bon vent!

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